Un bébé de 24 semaines survit à l’avortement en Pologne, pleure pendant une heure alors qu’on le laisse mourir
Les membres de l’industrie de l’avortement ne veulent pas admettre que les bébés peuvent survivre à l’avortement. Ils appellent cela un mythe et prétendent que ça ne se produit pas – mais pourtant, ça arrive. Et ce qui se passe quand les bébés survivent aux avortements fait frissonner. Trop souvent, on laisse les bébés mourir, sans confort ou compassion, seuls, dans la douleur et le froid. C’est exactement ce que vient de se produire en Pologne, où un bébé atteint du syndrome de Down a été victime d’un avortement raté, et a ensuite été abandonné à son sort, pleurant pendant près d’une heure avant de mourir alors que les médecins ne faisaient rien.
Les médecins et le personnel médical de l’Hôpital Sainte-Famille à Varsovie, en Pologne, ont laissé un enfant mourir après un avortement bâclé, selon les rapports des médias locaux détaillant l’horrible scène.
Le bébé est né le 7 mars, 2016 à 24 semaines de gestation, après qu’une tentative d’avortement ait échoué. L’enfant a pleuré et crié pendant une heure avant de mourir, selon les témoins, comme rapporté par la Télévision Republika.
Le personnel médical n’a aucunement essayé d’aider l’enfant.
Quant à la Pologne, un prêtre catholique, le père Ryszard Halwa, exige publiquement que l’hôpital soit accusé d’un crime. Si un bébé survit à un avortement et est né, alors il est légalement considéré comme un enfant et aurait dû recevoir tous les soins médicaux qui étaient nécessaires.
Le personnel hospitalier a négligé de le faire, et devrait en être tenu responsable.
Prenons déjà le site internet » Campagne Québec-Vie » c’est un site pro-vie , anti-avortement et préconise le respect de la vie de l’être humain depuis sa conception jusqu’à sa mort naturelle ( le viol y compris ? ). Revenons aux faits :
Ce qui est Vrai :
Il y a bien eu une femme qui a accouchée d’un bébé de 23 semaines à l’hôpital de la Sainte Famille à Varsovie (Pologne)
Malheuresement le bébé était atteint du syndrome de Down (Trisomie 21 ) est bien décedé le 7 mars 2016.
D’après le Professeur Ewa Helwich (Néonatologiste et consultante national dans le domaine de la néonatologie)
» Le service de néonatalogie, a noté les dossiers médicaux de l’affaire et n’a pas d’ objection à l’action des médecins à l’hôpital Madalińskiego. Elle souligne que le cas était difficile parce que la patiente venait de l’ extérieur de Varsovie, et sa grossesse n’a pas été effectuée dans la clinique. Les médecins ont dû décider rapidement. Ils ont réuni un groupe de Gynécologues et Néonatologies, et ont constatés qu’il y avait un défaut fœtales graves, irréversibles et sont des conditions préalables à la réalisation de la grossesse.
Ils ont agi conformément aux dispositions de la loi. La documentation montre que l’enfant a eu un impact unique du cœur.
Il a été reporté à l’incubateur ouvert et a été couvert. Et donc un petit enfant ne reçoit pas de médicaments contre la douleur par voie orale, par voie intraveineuse uniquement. L’enfant avait un défaut génétique sous la forme du syndrome de Down et également un dysfonctionnement des reins et une malformation cardiaque.
Ces défauts cardiaques peuvent être traités, mais quand le bébé pèse 3kilos a la naissance et non 500 grammes.
L’enfant n’a pas pu être sauvé et il est partit avec dignité et dans la paix a déclarée le Professeur Helwich »
Ce qui est Faux :
Nous avons retrouvé la photo sur le site « News Médical Life Sciences » sur la formation de Simulation pour des urgences prénatales et néonatales datant du 17 Février 2016. Or l’article de Campagne Québec Vie date du 8 Avril 2016.
Donc la photo a été reprise par le site Pro-vie mais n’est en rien la photo du bébé cité.
L’origine de la photo est plus vieille Novembre 2015.
L’information de République Télévision qui dit que le personnel de l’hôpital a laissé pleurer l’enfant est fausse.
Le bébé ne pesé que 500 grammes et il ne peut pas pleurer. Ses poumons sont si immatures qu’il peut tout au plus faire des lamentations a dit le professeur Helwich et ajoute que quand il vient à la naissance prématurée et l’enfant est né vivant avec un poids extrêmement faible, il a de nombreux défauts et aucune chance de survie, les médecins donnent alors l’enfant aux bras de sa mère, mais dans ce cas précis, il était impossible de le faire.
L’avortement en Pologne, que dit la loi ?
L’avortement en Pologne, pays de forte tradition catholique, n’est autorisé depuis 1993 que dans trois circonstances : grossesse résultant d’un acte illégal, risque pour la vie ou la santé de la femme enceinte, malformation grave du fœtus.
Le 22 Septembre 2016 le comité Stop Avortement qui réunit plusieurs associations pro-vie, dépose une nouvelle proposition de loi. Elle demande l’interdiction totale de l’avortement, sauf en cas de danger immédiat pour la vie de la mère. Autrement dit, même en cas de viol, d’inceste, ou de malformation du fœtus, la grossesse devra juridiquement être menée à terme.
Le 5 Octobre 2016 la commission de la justice et des droits de l’homme du Sejm (la chambre basse du Parlement polonais) a rejeté, mercredi 5 octobre au soir, la proposition de loi visant à interdire totalement l’avortement.
Conclusion :
L’article de Campagne Québec Vie est orienté et ils ont déformés les propos.
Nous sommes pas là pour juger les actes de chacun, juste de remettre en lumière la vérité.
Sources : Warszawa- Wyborzca – News Médical – Le Figaro – Le Monde –
Juin 7 2017
Non, le personnel de l’hôpital n’est pas resté inactif, mais malheuresement le bébé est bien décedé.
Un bébé de 24 semaines survit à l’avortement en Pologne, pleure pendant une heure alors qu’on le laisse mourir
Les membres de l’industrie de l’avortement ne veulent pas admettre que les bébés peuvent survivre à l’avortement. Ils appellent cela un mythe et prétendent que ça ne se produit pas – mais pourtant, ça arrive. Et ce qui se passe quand les bébés survivent aux avortements fait frissonner. Trop souvent, on laisse les bébés mourir, sans confort ou compassion, seuls, dans la douleur et le froid. C’est exactement ce que vient de se produire en Pologne, où un bébé atteint du syndrome de Down a été victime d’un avortement raté, et a ensuite été abandonné à son sort, pleurant pendant près d’une heure avant de mourir alors que les médecins ne faisaient rien.
Les médecins et le personnel médical de l’Hôpital Sainte-Famille à Varsovie, en Pologne, ont laissé un enfant mourir après un avortement bâclé, selon les rapports des médias locaux détaillant l’horrible scène.
Le bébé est né le 7 mars, 2016 à 24 semaines de gestation, après qu’une tentative d’avortement ait échoué. L’enfant a pleuré et crié pendant une heure avant de mourir, selon les témoins, comme rapporté par la Télévision Republika.
Le personnel médical n’a aucunement essayé d’aider l’enfant.
Quant à la Pologne, un prêtre catholique, le père Ryszard Halwa, exige publiquement que l’hôpital soit accusé d’un crime. Si un bébé survit à un avortement et est né, alors il est légalement considéré comme un enfant et aurait dû recevoir tous les soins médicaux qui étaient nécessaires.
Le personnel hospitalier a négligé de le faire, et devrait en être tenu responsable.
Prenons déjà le site internet » Campagne Québec-Vie » c’est un site pro-vie , anti-avortement et préconise le respect de la vie de l’être humain depuis sa conception jusqu’à sa mort naturelle ( le viol y compris ? ). Revenons aux faits :
Ce qui est Vrai :
Il y a bien eu une femme qui a accouchée d’un bébé de 23 semaines à l’hôpital de la Sainte Famille à Varsovie (Pologne)
Malheuresement le bébé était atteint du syndrome de Down (Trisomie 21 ) est bien décedé le 7 mars 2016.
D’après le Professeur Ewa Helwich (Néonatologiste et consultante national dans le domaine de la néonatologie)
» Le service de néonatalogie, a noté les dossiers médicaux de l’affaire et n’a pas d’ objection à l’action des médecins à l’hôpital Madalińskiego. Elle souligne que le cas était difficile parce que la patiente venait de l’ extérieur de Varsovie, et sa grossesse n’a pas été effectuée dans la clinique. Les médecins ont dû décider rapidement. Ils ont réuni un groupe de Gynécologues et Néonatologies, et ont constatés qu’il y avait un défaut fœtales graves, irréversibles et sont des conditions préalables à la réalisation de la grossesse.
Ils ont agi conformément aux dispositions de la loi. La documentation montre que l’enfant a eu un impact unique du cœur.
Il a été reporté à l’incubateur ouvert et a été couvert. Et donc un petit enfant ne reçoit pas de médicaments contre la douleur par voie orale, par voie intraveineuse uniquement. L’enfant avait un défaut génétique sous la forme du syndrome de Down et également un dysfonctionnement des reins et une malformation cardiaque.
Ces défauts cardiaques peuvent être traités, mais quand le bébé pèse 3kilos a la naissance et non 500 grammes.
L’enfant n’a pas pu être sauvé et il est partit avec dignité et dans la paix a déclarée le Professeur Helwich »
Ce qui est Faux :
Nous avons retrouvé la photo sur le site « News Médical Life Sciences » sur la formation de Simulation pour des urgences prénatales et néonatales datant du 17 Février 2016. Or l’article de Campagne Québec Vie date du 8 Avril 2016.
Donc la photo a été reprise par le site Pro-vie mais n’est en rien la photo du bébé cité.
L’origine de la photo est plus vieille Novembre 2015.
L’information de République Télévision qui dit que le personnel de l’hôpital a laissé pleurer l’enfant est fausse.
Le bébé ne pesé que 500 grammes et il ne peut pas pleurer. Ses poumons sont si immatures qu’il peut tout au plus faire des lamentations a dit le professeur Helwich et ajoute que quand il vient à la naissance prématurée et l’enfant est né vivant avec un poids extrêmement faible, il a de nombreux défauts et aucune chance de survie, les médecins donnent alors l’enfant aux bras de sa mère, mais dans ce cas précis, il était impossible de le faire.
L’avortement en Pologne, que dit la loi ?
L’avortement en Pologne, pays de forte tradition catholique, n’est autorisé depuis 1993 que dans trois circonstances : grossesse résultant d’un acte illégal, risque pour la vie ou la santé de la femme enceinte, malformation grave du fœtus.
Le 22 Septembre 2016 le comité Stop Avortement qui réunit plusieurs associations pro-vie, dépose une nouvelle proposition de loi. Elle demande l’interdiction totale de l’avortement, sauf en cas de danger immédiat pour la vie de la mère. Autrement dit, même en cas de viol, d’inceste, ou de malformation du fœtus, la grossesse devra juridiquement être menée à terme.
Le 5 Octobre 2016 la commission de la justice et des droits de l’homme du Sejm (la chambre basse du Parlement polonais) a rejeté, mercredi 5 octobre au soir, la proposition de loi visant à interdire totalement l’avortement.
Conclusion :
L’article de Campagne Québec Vie est orienté et ils ont déformés les propos.
Nous sommes pas là pour juger les actes de chacun, juste de remettre en lumière la vérité.
Sources : Warszawa- Wyborzca – News Médical – Le Figaro – Le Monde –
By Team Hoax-Net • Médical/Santé • • Tags: avortement, avortement en Pologne, bébé, Hôpital, l'hôpital Madalińskiego, Pologne, Professeur, Professeur Ewa Helwich, Télévision Republika, Varsovie