Bien qu’on en parle moins pour l’instant, le Covid19 est toujours bien présent sous divers variants, ainsi un article du média français 20minutes.fr titrait début aout 2023 :
Covid-19 : Que sait-on d’Eris, le nouveau variant désormais majoritaire en France ?
Un article très récent du média belge RTBF.Be datant du 23 aout 2023 titre :
COVID19 : BA.2.86, le nouveau variant intrigant de coronavirus qui monte avec 9 signalements dans 5 pays
Nous sommes donc loin d’en avoir fini avec le Covid19 et ses variant, il n’en fallait pas plus pour qu’un influenceur canadien lui aussi soit bien présent avec un temps de retard non négligeable, et en profite pour faire remonter à la surface une publication vue au moment ou les gouvernements des pays de la planète imposaient obligatoirement le port du masque.
C’est écrit sur la boîte! 80% d’une population vax à 90% a déjà attrapé le virus l’an dernier. Vous avez besoin de plus de preuves ? écrit-il sur son compte X (ex-twitter) ce 22 aout 2023 avec un visuel qui selon lui ne laisse planer aucun doute sur inefficacité du port du masque .
La réponse d’un utilisateur Twitter (Trigger) à cette publication sera plus qu’explicite :
Nous remonterons donc au 17 juillet 2020 pour l’explication de ce descriptif sur les emballages des masques de protection :
Selon le média français
Le Monde.fr mais aussi d’autres médias :
Ce que disait et que dit encore cette rumeur :
« Les masques ne protègent pas des infections ni des virus », dénonce un message diffusé sur Facebook, illustré par la photo d’un emballage de « masque d’hygiène 3 plis bleu ». On y lit en effet : « Ce produit ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses »
Pour en comprendre les enjeux, il faut d’abord comprendre qu’il existe plusieurs types de masques. Au départ de l’épidémie, on en comptait principalement deux utilisés dans la lutte contre le SARS-CoV-2.
les masques de protection respiratoire individuelle (comme les fameux FFP2),
qui sont équipés d’un système filtrant, qui visent à protéger le porteur des risques d’inhalation d’agents infectieux. Ces masques sont destinés à un usage médical, en priorité pour celles et ceux qui pratiquent des gestes invasifs respiratoires sur des patients intubés ;
les masques antiprojections, dits « chirurgicaux »,
conçus pour un usage médical, qui ont pour vocation principale d’éviter que ceux qui les portent ne rejettent des sécrétions dans l’air et contaminent les autres. Ce sont ceux que, par exemple, les dentistes ou les personnels hospitaliers arboraient bien avant la pandémie de Covid-19.
Pourquoi, alors, lit-on sur des boîtes de masques qu’ils ne protègent pas contre le SARS-CoV-2 ?
Tout simplement parce qu’ils ne sont pas conçus pour offrir une protection individuelle à leur porteur, mais pour contribuer à des mesures collectives visant à limiter la propagation du virus responsable du Covid-19.
Le docteur Carenco insistait ainsi sur trois règles, les « trois « M » :
le port du masque, l’hygiène du masque et le respect d’une distance d’au moins un mètre entre les personnes ».
Dès lors, aucun fabricant de tels masques ne peut raisonnablement prétendre offrir une protection individuelle à son porteur contre le nouveau coronavirus. C’est pourquoi on trouve, sur la plupart des boîtes qui sont commercialisées aujourd’hui des avertissements à ce sujet.
Une simple recherche en ligne donne d’autres exemples du même type.
Par exemple, un vendeur de masques médicaux précise que
« ces masques d’hygiène ne protègent pas contre l’inhalation de bactéries, particules fines ou encore de virus, ils servent à protéger les autres des postillons du porteur du masque ».
Un vendeur de masques barrières grand public précise, quant à lui,
que son produit filtre plus de 70 % des particules « émises » par le porteur et pas celles inhalées. Et ainsi de suite.
Seuls les masques de protection respiratoire individuelle de type FFP2, qui répondent à des normes bien spécifiques, peuvent comporter de telles mentions.
Cela ne veut pas dire pour autant qu’il s’agit de l’équipement adapté pour le grand public dans la lutte contre le virus.
D’abord, ceux qui sont destinés au personnel médical sont rares, plus coûteux et plus difficilement supportables que les autres. De plus, ceux qui sont équipés de valves et non destinés à usage médical ne sont pas adaptés à la lutte contre la pandémie.
« Ils ont été faits pour protéger les gens qui travaillent dans des milieux poussiéreux, mais n’empêchent pas d’expirer le virus », tranche le docteur Carenco.
Le port du masque ne protège pas contre l’inhalation de bactéries, particules fines ou encore de virus.
Le port du masque a comme fonction de protéger les autres de vos positionnements.
20minutes.fr – RTBF.Be – le monde.fr/2020 – bga-vetements.fr/masque – lartisan costumier.com/masques –tf1info.fr/2020
Sep 8 2023
Non, la mention « ne protège pas des contaminations virales ou infectieuses » ne signifie pas que les masques sont inefficaces !
Bien qu’on en parle moins pour l’instant, le Covid19 est toujours bien présent sous divers variants, ainsi un article du média français 20minutes.fr titrait début aout 2023 :
Un article très récent du média belge RTBF.Be datant du 23 aout 2023 titre :
Nous sommes donc loin d’en avoir fini avec le Covid19 et ses variant, il n’en fallait pas plus pour qu’un influenceur canadien lui aussi soit bien présent avec un temps de retard non négligeable, et en profite pour faire remonter à la surface une publication vue au moment ou les gouvernements des pays de la planète imposaient obligatoirement le port du masque.
Nous remonterons donc au 17 juillet 2020 pour l’explication de ce descriptif sur les emballages des masques de protection :
Ce que disait et que dit encore cette rumeur :
Pour en comprendre les enjeux, il faut d’abord comprendre qu’il existe plusieurs types de masques. Au départ de l’épidémie, on en comptait principalement deux utilisés dans la lutte contre le SARS-CoV-2.
les masques de protection respiratoire individuelle (comme les fameux FFP2),
les masques antiprojections, dits « chirurgicaux »,
Pourquoi, alors, lit-on sur des boîtes de masques qu’ils ne protègent pas contre le SARS-CoV-2 ?
Tout simplement parce qu’ils ne sont pas conçus pour offrir une protection individuelle à leur porteur, mais pour contribuer à des mesures collectives visant à limiter la propagation du virus responsable du Covid-19.
Le docteur Carenco insistait ainsi sur trois règles, les « trois « M » :
Dès lors, aucun fabricant de tels masques ne peut raisonnablement prétendre offrir une protection individuelle à son porteur contre le nouveau coronavirus. C’est pourquoi on trouve, sur la plupart des boîtes qui sont commercialisées aujourd’hui des avertissements à ce sujet.
Une simple recherche en ligne donne d’autres exemples du même type.
Par exemple, un vendeur de masques médicaux précise que
Un vendeur de masques barrières grand public précise, quant à lui,
Seuls les masques de protection respiratoire individuelle de type FFP2, qui répondent à des normes bien spécifiques, peuvent comporter de telles mentions.
Cela ne veut pas dire pour autant qu’il s’agit de l’équipement adapté pour le grand public dans la lutte contre le virus.
D’abord, ceux qui sont destinés au personnel médical sont rares, plus coûteux et plus difficilement supportables que les autres. De plus, ceux qui sont équipés de valves et non destinés à usage médical ne sont pas adaptés à la lutte contre la pandémie.
Le port du masque ne protège pas contre l’inhalation de bactéries, particules fines ou encore de virus.
Le port du masque a comme fonction de protéger les autres de vos positionnements.
20minutes.fr – RTBF.Be – le monde.fr/2020 – bga-vetements.fr/masque – lartisan costumier.com/masques –tf1info.fr/2020
By Team Hoax-Net • COVID 19 • • Tags: descriptif masque covid19, masque anti covid19, port du masque, port du masque innéficasse