Juil 31 2016

Arrêtez de croire au Père Noël : les bons cadeaux vous offrant des sommes importantes sont des arnaques !

Les bons cadeaux vous offrant des sommes importantes (50, 100, 150, 250, 500 et même 1000 €) sont bien évidemment des arnaques !

C’est valable en France comme en Belgique. Les sites qui les proposent ne sont pas les sites officiels des grandes enseignes telle que Carrefour, Auchan, E.Leclerc, Ikéa, Intermarché …
Les enseignes de « grandes surfaces » sont victimes de ce genre d’arnaque régulièrement, seule la somme et le graphisme changent, mais le principe reste le même. La publication qui propose ce genre de bons cadeaux semble fortement provenir de la page officielle de la marque sur Facebook, mais il n’en est rien !

Cette publication, sur une fausse page de l’enseigne, vous redirige si vous cliquez dessus vers un faux site.

C’est ce qu’on appelle L’hameçonnage, phishing ou filoutage, technique utilisée par des fraudeurs pour obtenir des renseignements personnels dans le but de perpétrer une usurpation d’identité.

A noter que vous pouvez non seulement les signaler sous la publication de cet article afin qu’on puisse mettre à jour celui-ci, mais aussi et surtout le signaler à l’enseigne, par un commentaire ou en message privé, et bien entendu le signaler en abus sur Facebook.
Pour ce faire, rendez-vous sur la page incriminée et cliquez sur « Plus » (comme ci-dessous) ensuite « Signaler cette page » et suivre la procédure…

Pour exemple nous avons pris l’enseigne Carrefour, mais nous aurions pu en prendre une autre :

Et comme vous pouvez le voir, l’adresse du site entourée de rouge n’est PAS celle du site officiel de Carrefour. Évidemment, nous n’avons pas été plus loin….
Ces grandes enseignes font d’ailleurs une mise en garde sur leur site officiel, comme notre exemple :
Pour votre adresse e-mail, votre carte Bonus ou numéro de carte bancaire, ne tombez pas dans le piège !

Le but de ce type de message est de collecter ces informations pour les utiliser à des fins malhonnêtes comme le vol ou l’usurpation d’identité.
Pour lire l’entièreté de l’article, cliquez sur la capture écran ci-dessous :