FAUX, c’est ce qu’on appelle une « histoire glurge
une histoire qui n’a jamais existé et écrite pour susciter l’émotion et la réaction des lecteurs.
Dans ce cas elle est écrite pour culpabiliser les mères de famille ayant un enfant en prison pour des faits extrêmes.
On peut déjà constater le nom du condamné n’a pas été inclus, ni la date à laquelle il aurait été exécuté….
Cette lettre représentait simplement les présomptions de son auteur sur les défaillances morales des modes de vie des mères de garçons en difficulté.
Cette lettre a été accompagnée d’une photo de Jeremy Meeks en tenue orange de prison américaine. Les deux photos sont VRAIES, mais Jeremy Meeks, bien qu’ayant été un délinquant arrêté pour plein de délits mineurs, n’a jamais été accusé de crime le menant au « couloir de la mort », ni exécuté.
Au cours de l’été 2014, Jeremy Meeks conduisait une voiture et a été arrêté par un officier de police de Stockton, ville qui est parmi les leaders dans le taux de criminalité aux États-Unis.
Il est apparu plus tard que le policier avait confondu Jeremy avec le membre d’un gang par erreur, mais l’officier de police avait trouvé sur lui de la marijuana et au cours de la recherche dans le coffre de sa voiture, il avait trouvé une arme militaire pour laquelle Meeks n’avait pas d’autorisation.
Lors de son procès, l’un des gardes de la salle d’audience prendra ces photos qu’il postera sur facbook avec la désignation « Le prisonnier le plus beau du monde » qui le rendront célèbre.
Même la California’s Stockton Police Department, les publiera sur son site officiel.
Sur la popularité de son fils, la mère de Jeremy avait créé une page Web où elle amassait des fonds pour payer les avocats et la libération sous caution de son fils. Étant toujours derrière les barreaux, Meeks a commencé à recevoir des offres d’agences de mannequins.
Condamné à la peine d’emprisonnement de 2 ans en Mars 2016, Jeremy a été finalement mis en liberté conditionnelle pour son bon comportement
Ensuite, Jeremy a conclu un contrat avec l’agence « Blaze Models agency ». Un peu plus tard, Jeremy est passé sous la tutelle de Jim Jordan de « White Cross Management ». Le photographe est connu pour le fait qu’il accorde une attention aux modèles haut de gamme uniquement.
Quant à cette lettre, elle a été mise en ligne par le FAUX Daily Mail qui n’existe plus et gawker.com, deux sites satiriques, comme on pouvait s’y attendre. Une fois diffusée sur Facebook et d’autres pages de réseaux sociaux, la lettre « d’un condamné à sa mère » a fait le tour du monde en une traînée de poudre, bien que cette histoire ne fût que pure invention.
Sources : bufale.net – snopes.com – 24smi.org – dailymail.co.uk – instagram.com – gawker.com –
Août 20 2018
Fausse lettre d’un condamné à mort à sa mère.
FAUX, c’est ce qu’on appelle une « histoire glurge
une histoire qui n’a jamais existé et écrite pour susciter l’émotion et la réaction des lecteurs.
Dans ce cas elle est écrite pour culpabiliser les mères de famille ayant un enfant en prison pour des faits extrêmes.
On peut déjà constater le nom du condamné n’a pas été inclus, ni la date à laquelle il aurait été exécuté….
Cette lettre représentait simplement les présomptions de son auteur sur les défaillances morales des modes de vie des mères de garçons en difficulté.
Cette lettre a été accompagnée d’une photo de Jeremy Meeks en tenue orange de prison américaine. Les deux photos sont VRAIES, mais Jeremy Meeks, bien qu’ayant été un délinquant arrêté pour plein de délits mineurs, n’a jamais été accusé de crime le menant au « couloir de la mort », ni exécuté.
Au cours de l’été 2014, Jeremy Meeks conduisait une voiture et a été arrêté par un officier de police de Stockton, ville qui est parmi les leaders dans le taux de criminalité aux États-Unis.
Il est apparu plus tard que le policier avait confondu Jeremy avec le membre d’un gang par erreur, mais l’officier de police avait trouvé sur lui de la marijuana et au cours de la recherche dans le coffre de sa voiture, il avait trouvé une arme militaire pour laquelle Meeks n’avait pas d’autorisation.
Lors de son procès, l’un des gardes de la salle d’audience prendra ces photos qu’il postera sur facbook avec la désignation « Le prisonnier le plus beau du monde » qui le rendront célèbre.
Même la California’s Stockton Police Department, les publiera sur son site officiel.
Sur la popularité de son fils, la mère de Jeremy avait créé une page Web où elle amassait des fonds pour payer les avocats et la libération sous caution de son fils. Étant toujours derrière les barreaux, Meeks a commencé à recevoir des offres d’agences de mannequins.
Condamné à la peine d’emprisonnement de 2 ans en Mars 2016, Jeremy a été finalement mis en liberté conditionnelle pour son bon comportement
Ensuite, Jeremy a conclu un contrat avec l’agence « Blaze Models agency ». Un peu plus tard, Jeremy est passé sous la tutelle de Jim Jordan de « White Cross Management ». Le photographe est connu pour le fait qu’il accorde une attention aux modèles haut de gamme uniquement.
Quant à cette lettre, elle a été mise en ligne par le FAUX Daily Mail qui n’existe plus et gawker.com, deux sites satiriques, comme on pouvait s’y attendre. Une fois diffusée sur Facebook et d’autres pages de réseaux sociaux, la lettre « d’un condamné à sa mère » a fait le tour du monde en une traînée de poudre, bien que cette histoire ne fût que pure invention.
Sources : bufale.net – snopes.com – 24smi.org – dailymail.co.uk – instagram.com – gawker.com –
By Team Hoax-Net • En vrac, Infos Satiriques / Blagues • • Tags: histoire glurge, lettre d'un condamné a mort