Diverses publications accusent des vidéos de vaccinations fictives ou montrant une aiguille de seringue rétractable de tromper la population. Elles incitent à ne pas se faire vacciner car les vaccins ne serviraient à rien contre la Covid-19.
Les exemples que vous verrez ci-dessous nous ont été demandés pour vérification en message privé sur notre page facebook.
La publication liée à cette vidéo, devenue virale et faisant la joie des anti-vaccins dans les partages sur les réseaux sociaux, est trompeuse.
En effet, elle voudrait nous faire croire qu’il y a mensonge sur l’injection d’un vaccin en public, les internautes ayant remarqué que la seringue ne contenait pas de vaccin, ni d’aiguille.
Il est déjà bon de noter que cette vidéo n’a pas été tournée en France, ni en Belgique mais en Israël, et plus particulièrement près de la rive Nord du lac de Tibériade, dans le district Nord d’Israël, à l’hôpital Clalit Health Services Group.
Le chef du conseil régional de Mevoot Hermon, Benny Ben-Mubhar, apparaît dans une vidéo (…) dans laquelle on voit une infirmière posant une seringue vide sur son bras, pendant qu’il recommande d’aller se faire vacciner.
Comme bien souvent, la vidéo publiée sur les réseaux sociaux a été recoupée.
En réalité, Benny Ben-Mubhar a bien été filmé en train d’être vacciné au Clalit Health Services Group, dans le but d’inciter la population à se faire également vacciner. Cependant, un membre du personnel de l’hôpital lui a demandé de faire une seconde prise (fictive) afin d’ajouter un message de sympathie envers le personnel de l’hôpital « Clalit Health Services Group » (la vidéo publiée). Bien entendu, lors de cette seconde prise, il n’y avait aucun vaccin, ni aiguille, puisqu’il avait déjà reçu la dose la première fois quelques secondes avant.
Quelques heures après la diffusion massive de la vidéo sur WhatsApp, Ben-Mubhar a demandé à rassurer « tous les intéressés » et a expliqué qu’il « a répondu à la demande générale d’ajouter un mot de sympathie, et c’est devenu viral ».
Dans la vidéo, on entend comment l’infirmière de l’hôpital « Clalit Health Services Group » (qui a filmé l’injection du vaccin) exhorte Ben-Mubhar à dire quelques mots sur le vaccin et l’hôpital pendant que l’autre infirmière l’injecte fictivement.
Ben-Mubhar a coopéré avec joie, en expliquant qu’il recevait le vaccin et qu’il le recommandait à tout le monde : « Venez vite et faites le vaccin pour une bonne santé. »
La première fois, lorsque le vaccin a réellement été injecté, les infirmières dévouées avaient été déçues suite aux paroles de Ben-Mubhar, qui avait omis de les féliciter pour leur travail. Elles lui ont donc demandé de filmer à nouveau la vaccination. Il a bien sûr accepté leur demande, mais cette fois, bien sûr, aucun autre vaccin n’a été injecté.«Allez, faisons de la publicité pour Clalit», dit-il.
Dans une conversation avec le site Makor Rishon, Ben-Mubhar, amusé par la tempête qu’il a provoquée par inadvertance, a expliqué les événements du dernier jour:
«Je suis entré pour me faire vacciner et tout s’est bien passé. Les représentants de Clalit m’ont demandé de leur adresser en plus un mot de sympathie, alors j’ai accepté et j’ai demandé à être filmé à nouveau.
Le représentant qui m’a filmé n’a mis en ligne que la partie avec la vidéo des remerciements à Clalit » (la vidéo publiée sur les réseaux sociaux où la seringue est sans vaccin et sans aiguille,) a-t-il expliqué.
Ben-Mubhar a éclaté de rire suite à la réaction des antivax et a ajouté:
« Je comprends que les opposants au vaccin jubilent devant cette vidéo, mais je les informe que je suis déjà sur liste d’attente pour la deuxième dose du vaccin, et j’appelle tout le monde à venir dans les complexes vaccinaux afin d’obtenir le vaccin contre la covid-19. »
Il s’agit donc d’une deuxième prise d’image demandée par l’hôpital pour remercier le personnel hospitalier et inciter la population à se faire vacciner.
Beaucoup de personnalités ou de personnels hospitaliers se font vacciner en public pour inciter et rassurer la population de leur pays à le faire elle aussi. Cependant, sur les réseaux sociaux, les antivax en profitent pour publier des vidéos prises hors contexte comme on a pu déjà le voir ci-dessus.
C’est le cas de Sadiq Khan, le Maire de Londres, dont certains n’ont jamais raté de l’épingler à cause de son appartenance à la confession musulmane.
De nombreux internautes accusent le maire de Londres d’avoir fait semblant de se faire vacciner, fin septembre dernier (2020), alors que le Royaume-Uni lançait sa campagne de vaccination contre la grippe. Une campagne cruciale cette année pour éviter la confusion des symptômes avec le coronavirus.
— Mayor of London (gov.uk/coronavirus) (@MayorofLondon) September 28, 2020
Le maire travailliste de Londres, qui venait de recevoir le vaccin dans une pharmacie locale, invitait alors ses concitoyens à faire de même.
Sauf qu’en zoomant sur les mains du pharmacien censé inoculer le médicament à l’édile londonien, on remarque que le capuchon de la seringue n’a pas été retiré… Serait-ce, comme l’affirment les internautes, une preuve que Sadiq Khan ne s’est jamais fait vacciner contre la grippe ?
Le porte-parole du maire de Londres, qui a indiqué que l’élu avait bien été vacciné et a apporté des précisions au média de vérification anglo-saxonFull Fact:
« Cette photographie a été prise juste avant que Sadiq Khan ne reçoive son injection, c’est pourquoi il est possible d’apercevoir un capuchon sur la seringue. La vaccination restant le meilleur moyen de vous protéger de la grippe, nous invitons toutes les personnes éligibles à se faire vacciner. »
Le cas de la première ministre du Queensland (Australie), Annastacia Palaszczuk, vaccinée contre la grippe au mois d’avril, qui correspond au début de l’automne dans l’hémisphère Sud, relève carrément de la manipulation éhontée.
Cependant, l’agence Associated Press a révélé que cette vidéo était tronquée. La séquence entière, filmée par le média local 7News Brisbane, ne dure pas vingt-cinq secondes mais plus d’une minute. Le moment, furtif mais réel, où la seringue sort du bras de Mme Palaszczuk a été coupé au montage.
La séquence filmée dans son intégralité montre pourquoi plusieurs photos de vaccination font apparaître un capuchon sur l’aiguille :
parce que ces séquences de prise de vue n’ont pas eu lieu au moment de l’injection et qu’elles sont souvent refaites pour les photographes. C’est ce qui s’est passé dans ce cas précis.
« Oh ! c’était très rapide ! Je n’ai pas senti », s’exclame la première ministre devant un parterre de photographes hilares, surpris eux aussi par la rapidité de la scène.
« Refaites-le », lui demande l’un d’entre eux,qui n’a manifestement pas eu le temps de prendre sa photo.
Sous le crépitement des appareils photo, l’infirmière prend une nouvelle seringue, capuchonnée cette fois, qu’elle appuie contre le bras de Mme Palaszczuk durant de longues secondes, le temps que les photographes présents puissent prendre leur cliché.
Selon le dailymail.co.uk :
Un hôpital du Texas a été accusé d’avoir simulé l’injection du vaccin contre le coronavirus pour un infirmier de première ligne après que les téléspectateurs aient affirmé que la seringue ne bougeait pas.
Cinq travailleurs médicaux du centre médical universitaire d’El Paso (UMC) ont été filmés en train de recevoir les premières immunisations de l’hôpital contre le COVID-19 (…) avec des équipes de télévision invitées à le filmer.
Mais les téléspectateurs de KTSM 9 News ont déclaré avoir repéré un problème avec la vaccination de Ricardo Martinez, le deuxième infirmier à se faire vacciner.
Le piston de la seringue semblait avoir déjà été enfoncé avant que l’aiguille ne soit insérée dans le bras de Ricardo Martinez.
Ils ont alors pris contact avec la chaîne pour demander si le travailleur avait reçu une vaccination ou si elle avait été simulée.
L’hôpital à but non lucratif, qui compte 394 lits, a nié que la vaccination était fausse ou mise en scène,mais a déclaré qu’il « regarderait de plus près » la vidéo et vaccinerait l’infirmier une deuxième fois.
Ricardo Martinez, un travailleur de la santé de l’UMC, a déclaré par la suite qu’il était « honoré et privilégié d’être l’un des premiers à recevoir le vaccin ».
Il a ajouté: « Je suis un peu soulagé que nous obtenions enfin de l’aide, nous allons avoir des vaccins. J’espère que cela aidera parce que cela fut beaucoup de travail pour tout le monde. »
Dans un rapport sur leur site web concernant les images de la seringue à UMC, KTSM 9 News a écrit : «Certains téléspectateurs attentifs de KTSM 9 News se sont demandé si le travailleur avait reçu le vaccin».
Ils ont ajouté qu’après avoir contacté l’hôpital, un porte-parole a déclaré que les cinq vaccins vus à la caméra étaient réels mais qu’ils « regarderaient de plus près leur vidéo ».
Dans un communiqué, l’hôpital a déclaré:
« Après la publication de nombreux rapports sur les réseaux sociaux affirmant que l’un des cinq infirmiers recevant une vaccination n‘a pas reçu une dose complète de vaccin, nous voulons lever tout doute soulevé sur le fait qu’il n’était pas complètement vacciné et en outre renforcer la confiance dans le processus de vaccination ».
Ils ont ajouté que l’infirmier avait été vaccinée une deuxième fois.
«L’UMC a confirmé avec le Comité consultatif américain sur les pratiques d’immunisation (ACIP) que la revaccination de l’infirmier ne causera pas d’effets indésirables», ont-ils déclaré.
L’infirmier devra revenir au bout de trois semaines pour recevoir sa deuxième dose.
Début décembre, une vidéo, partagée sur Facebook par des comptes anglophones et francophones, montre un Américain présenter une seringue à aiguille rétractable.
« Bientôt, les artistes et quelques membres du gouvernement vont montrer l’exemple en se vaccinant, rappelez-vous de cette vidéo ok ? Rappelons-nous qu’ils jouent un rôle, un mauvais rôle comme au cinéma »,
Cependant, la vidéo est sortie de son contexte. En effet, selon le journal 20 Minutes, qui a retrouvé la version originale de cette vidéo :
Celle-ci a été réalisée par Scott Reeder, un accessoiriste pour le cinéma, qui l’a publiée sur l’application TikTok et sur son compte Instagram en septembre 2020.
Il présente dans cette vidéo trois « accessoires rétractables » : un couteau, un pic à glace et une seringue. Aucune mention n’est faite du vaccin contre la Covid-19.
Contacté par 20 Minutes, Scott Reeder a assuré que cet extrait avait été utilisé sans sa permission et qu’il ne
« soutenait, en rien, les théories prônées par ceux qui l’ont détournée ».
Jan 3 2021
Mise au point concernant les vidéos de vaccinations « fictives » et aiguilles « rétractables ».
Diverses publications accusent des vidéos de vaccinations fictives ou montrant une aiguille de seringue rétractable de tromper la population. Elles incitent à ne pas se faire vacciner car les vaccins ne serviraient à rien contre la Covid-19.
Les exemples que vous verrez ci-dessous nous ont été demandés pour vérification en message privé sur notre page facebook.
La publication liée à cette vidéo, devenue virale et faisant la joie des anti-vaccins dans les partages sur les réseaux sociaux, est trompeuse.
En effet, elle voudrait nous faire croire qu’il y a mensonge sur l’injection d’un vaccin en public, les internautes ayant remarqué que la seringue ne contenait pas de vaccin, ni d’aiguille.
Il est déjà bon de noter que cette vidéo n’a pas été tournée en France, ni en Belgique mais en Israël, et plus particulièrement près de la rive Nord du lac de Tibériade, dans le district Nord d’Israël, à l’hôpital Clalit Health Services Group.
Selon le média « makorrishon.co.il » :
Comme bien souvent, la vidéo publiée sur les réseaux sociaux a été recoupée.
En réalité, Benny Ben-Mubhar a bien été filmé en train d’être vacciné au Clalit Health Services Group, dans le but d’inciter la population à se faire également vacciner. Cependant, un membre du personnel de l’hôpital lui a demandé de faire une seconde prise (fictive) afin d’ajouter un message de sympathie envers le personnel de l’hôpital « Clalit Health Services Group » (la vidéo publiée). Bien entendu, lors de cette seconde prise, il n’y avait aucun vaccin, ni aiguille, puisqu’il avait déjà reçu la dose la première fois quelques secondes avant.
Dans la vidéo, on entend comment l’infirmière de l’hôpital « Clalit Health Services Group » (qui a filmé l’injection du vaccin) exhorte Ben-Mubhar à dire quelques mots sur le vaccin et l’hôpital pendant que l’autre infirmière l’injecte fictivement.
Ben-Mubhar a coopéré avec joie, en expliquant qu’il recevait le vaccin et qu’il le recommandait à tout le monde : « Venez vite et faites le vaccin pour une bonne santé. »
La première fois, lorsque le vaccin a réellement été injecté, les infirmières dévouées avaient été déçues suite aux paroles de Ben-Mubhar, qui avait omis de les féliciter pour leur travail. Elles lui ont donc demandé de filmer à nouveau la vaccination. Il a bien sûr accepté leur demande, mais cette fois, bien sûr, aucun autre vaccin n’a été injecté. «Allez, faisons de la publicité pour Clalit», dit-il.
Dans une conversation avec le site Makor Rishon, Ben-Mubhar, amusé par la tempête qu’il a provoquée par inadvertance, a expliqué les événements du dernier jour:
Ben-Mubhar a éclaté de rire suite à la réaction des antivax et a ajouté:
Il s’agit donc d’une deuxième prise d’image demandée par l’hôpital pour remercier le personnel hospitalier et inciter la population à se faire vacciner.
Beaucoup de personnalités ou de personnels hospitaliers se font vacciner en public pour inciter et rassurer la population de leur pays à le faire elle aussi. Cependant, sur les réseaux sociaux, les antivax en profitent pour publier des vidéos prises hors contexte comme on a pu déjà le voir ci-dessus.
C’est le cas de Sadiq Khan, le Maire de Londres, dont certains n’ont jamais raté de l’épingler à cause de son appartenance à la confession musulmane.
Selon 20minutes.fr :
De nombreux internautes accusent le maire de Londres d’avoir fait semblant de se faire vacciner, fin septembre dernier (2020), alors que le Royaume-Uni lançait sa campagne de vaccination contre la grippe. Une campagne cruciale cette année pour éviter la confusion des symptômes avec le coronavirus.
Dans une publication Facebook visionnée plus de 100.000 fois en trois jours, un internaute a posté une photo initialement publiée par Sadiq Khan lui-même dans un tweet le 28 septembre 2020.
Le maire travailliste de Londres, qui venait de recevoir le vaccin dans une pharmacie locale, invitait alors ses concitoyens à faire de même.
Sauf qu’en zoomant sur les mains du pharmacien censé inoculer le médicament à l’édile londonien, on remarque que le capuchon de la seringue n’a pas été retiré… Serait-ce, comme l’affirment les internautes, une preuve que Sadiq Khan ne s’est jamais fait vacciner contre la grippe ?
Le porte-parole du maire de Londres, qui a indiqué que l’élu avait bien été vacciné et a apporté des précisions au média de vérification anglo-saxon Full Fact:
Comme le rapporte Le Monde.fr :
Le cas de la première ministre du Queensland (Australie), Annastacia Palaszczuk, vaccinée contre la grippe au mois d’avril, qui correspond au début de l’automne dans l’hémisphère Sud, relève carrément de la manipulation éhontée.
Cependant, l’agence Associated Press a révélé que cette vidéo était tronquée. La séquence entière, filmée par le média local 7News Brisbane, ne dure pas vingt-cinq secondes mais plus d’une minute. Le moment, furtif mais réel, où la seringue sort du bras de Mme Palaszczuk a été coupé au montage.
La séquence filmée dans son intégralité montre pourquoi plusieurs photos de vaccination font apparaître un capuchon sur l’aiguille :
« Oh ! c’était très rapide ! Je n’ai pas senti », s’exclame la première ministre devant un parterre de photographes hilares, surpris eux aussi par la rapidité de la scène.
« Refaites-le », lui demande l’un d’entre eux, qui n’a manifestement pas eu le temps de prendre sa photo.
Sous le crépitement des appareils photo, l’infirmière prend une nouvelle seringue, capuchonnée cette fois, qu’elle appuie contre le bras de Mme Palaszczuk durant de longues secondes, le temps que les photographes présents puissent prendre leur cliché.
Selon le dailymail.co.uk :
Un hôpital du Texas a été accusé d’avoir simulé l’injection du vaccin contre le coronavirus pour un infirmier de première ligne après que les téléspectateurs aient affirmé que la seringue ne bougeait pas.
Mais les téléspectateurs de KTSM 9 News ont déclaré avoir repéré un problème avec la vaccination de Ricardo Martinez, le deuxième infirmier à se faire vacciner.
Le piston de la seringue semblait avoir déjà été enfoncé avant que l’aiguille ne soit insérée dans le bras de Ricardo Martinez.
Ils ont alors pris contact avec la chaîne pour demander si le travailleur avait reçu une vaccination ou si elle avait été simulée.
L’hôpital à but non lucratif, qui compte 394 lits, a nié que la vaccination était fausse ou mise en scène, mais a déclaré qu’il « regarderait de plus près » la vidéo et vaccinerait l’infirmier une deuxième fois.
Ricardo Martinez, un travailleur de la santé de l’UMC, a déclaré par la suite qu’il était « honoré et privilégié d’être l’un des premiers à recevoir le vaccin ».
Il a ajouté: « Je suis un peu soulagé que nous obtenions enfin de l’aide, nous allons avoir des vaccins. J’espère que cela aidera parce que cela fut beaucoup de travail pour tout le monde. »
Dans un rapport sur leur site web concernant les images de la seringue à UMC, KTSM 9 News a écrit : «Certains téléspectateurs attentifs de KTSM 9 News se sont demandé si le travailleur avait reçu le vaccin».
Ils ont ajouté qu’après avoir contacté l’hôpital, un porte-parole a déclaré que les cinq vaccins vus à la caméra étaient réels mais qu’ils « regarderaient de plus près leur vidéo ».
Dans un communiqué, l’hôpital a déclaré:
«L’UMC a confirmé avec le Comité consultatif américain sur les pratiques d’immunisation (ACIP) que la revaccination de l’infirmier ne causera pas d’effets indésirables», ont-ils déclaré.
L’infirmier devra revenir au bout de trois semaines pour recevoir sa deuxième dose.
Selon notre partenaire France24.com :
Début décembre, une vidéo, partagée sur Facebook par des comptes anglophones et francophones, montre un Américain présenter une seringue à aiguille rétractable.
indique une internaute en légende de la vidéo le 3 décembre.
Cependant, la vidéo est sortie de son contexte. En effet, selon le journal 20 Minutes, qui a retrouvé la version originale de cette vidéo :
Celle-ci a été réalisée par Scott Reeder, un accessoiriste pour le cinéma, qui l’a publiée sur l’application TikTok et sur son compte Instagram en septembre 2020.
Il présente dans cette vidéo trois « accessoires rétractables » : un couteau, un pic à glace et une seringue. Aucune mention n’est faite du vaccin contre la Covid-19.
Contacté par 20 Minutes, Scott Reeder a assuré que cet extrait avait été utilisé sans sa permission et qu’il ne
Vidéo N°1-makorrishon.co.il – Vidéo N°2-dailymail.co.uk – Vidéo N°3-Ftance24.com – Vidéo N°3-20minutes – Vidéo N°3-Scott Reeder – MayorofLondon/status/ – Full Fact – Le Monde.fr – Annastacia Palaszczuk – le-matin.fr/leternelle
EN ATTENDANT… Prenez soin de vous et des autres…
By Team Hoax-Net • COVID 19 • • Tags: aiguille retractable, Annastacia Palaszczuk (Australie), Benny Ben-Mubhar Israêl, Riccardo Martinez (Texax), Sadik Khan (Londres), vaccinations fictives