Oui, le tabac est un facteur de risque important pour le cancer du poumon.

Le tabac n’est pas responsable du cancer du poumon – Une des plus grosses arnaques du siècle !

Chaque année, des milliers de médecins et autres membres de l’« Inquisition Anti-Tabac » dépensent des milliards de dollars à perpétuer ce qui, sans questionnement, est devenu le scandale d’ingénierie sociale le plus trompeur, mais réussi, de l’histoire.

Avec les encouragements de la plupart des gouvernements occidentaux, ces lobbyistes Orwelliens poursuivent les fumeurs avec un zèle fanatique qui éclipse complètement la ridicule débâcle de la prohibition de l’alcool américaine, qui débuta en 1919 et dura jusqu’en 1933.

De nos jours, nous regardons la prohibition américaine de l’alcool avec un étonnement justifié. Est-ce réellement possible qu’une nation entière s’est elle-même fait interdire une bière, ou un scotch, par un minuscule groupe de fanatiques ? Malheureusement, oui, en dépit d’un manque total de preuves que l’alcool puisse provoquer des dommages aux êtres humains, à moins d’être consommé en quantités vraiment astronomiques.

 Hélas, la sûreté de l’alcool n’avait pas d’intérêt pour les fanatiques, pour qui le contrôle sur les autres était le seul et unique véritable objectif. Les Américains, vraisemblablement, « péchaient » en se divertissant avec quelques boissons alcoolisées, et les puritains intercédèrent au nom de Dieu, afin qu’ils se sentent à nouveau misérables.

Même s’il n’y a pas de lien direct entre l’alcool et le tabac, l’histoire de la prohibition américaine est importante, parce qu’elle nous aide à comprendre comment un minuscule nombre de zélés a réussi à contrôler le comportement et la vie de dizaines de millions de personnes. De nos jours, la même chose arrive aux fumeurs, bien que, cette fois-ci, c’est aux mains des zélés gouvernementaux et des médecins ignorants, plutôt que des fanatiques religieux. (…)

L’article dit que le Tabac n’est pas responsable du cancer du poumon, or, c’est FAUX d’avancer de tels propos sans source officiel ou étude scientifique.

Explications :

Les cancers du poumon se divisent en deux grandes familles, différenciées en fonction de la nature des cellules tumorales.

Les cancers « à petites cellules » représentent 20% des cancers du poumon. Ces cancers sont dits « agressifs » : les cellules malades se multiplient rapidement et, d’emblée, il existe un risque de métastases.

Les cancers « non à petites cellules » représentent 80% des cancers du poumon et regroupent trois grands types de tumeurs : l’adénocarcinome bronchique (40%), le carcinome épidermoïde (40%) , le carcinome à grandes cellules (20%). Cette distinction est importante, les traitements et pronostics étant très différents.

Si le cancer du poumon peut avoir différentes origines, le tabagisme reste le principal responsable d’après la ligue contre le cancer 

L’exposition à la fumée de tabac est responsable d’environ 85 % des cancers du poumon. Ce risque concerne non seulement les fumeurs mais aussi leur entourage proche (tabagisme passif) La consommation quotidienne de tabac, sous quelle que forme que ce soit (cigarette industrielle ou tabac à rouler, pipe, cigares, cigarillos, narguilés…), est le facteur responsable de la très grande majorité des cancers du poumon.

Selon l’OMS (Organisation Mondiale de la santé ) : Le tabagisme est le facteur de risque le plus important du cancer responsable d’environ 22% du total des décès dus au cancer.

Cependant d’autres facteurs professionnels ou environnementaux, sont incriminés :  Les travailleurs exposés, régulièrement et sur le long terme à des substances cancérigènes telles que l’amiante, le radon, l’arsenic, le nickel, le chrome, les goudrons… présentent un risque accru de développer un cancer du poumon. Il faut également prendre en compte les antécédents personnels et familiaux.

En 2015 des études ont été menées sur un éventuel impact de la pollution atmosphérique sur l’apparition de cancers du poumon. Pour l’heure, aucun rapprochement n’a été observé.

Quelle est la proportion d’adultes français qui fument ?

  • 21%.
  • 31%.

À titre de comparaison, la Grande-Bretagne compte 21% de fumeurs, la Californie 13%.

  • 75%.
  • 85%.

Conclusion :

Raccourci rapide et simpliste avec désinformation de l’article.

La prévention est la meilleure et la moins coûteuse des manières de combattre le cancer du poumon.

Donc, plutôt que de penser à dépister ces cancers, l’idéal serait de ne plus les observer ! Pour cela, il y a des moyens très efficaces :
> ne pas fumer soi-même,
> ne pas enfumer les autres, si l’on est fumeur,
> tout faire pour que les enfants et les adolescents ne commencent pas à fumer.

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Sources : Ligue contre le cancer – Organisation Mondiale de la Santé – Fondation Arc – E-Santé –